Le commerce et le trafic sont liés. En effet le commerce a pour volonté politique d’enrichir le pays. La concurrence commerciale, c’est à dire la concurrence avec les concurrents, incite à baisser les prix. Si nous nous arrêtions là, tout irait dans le meilleur des mondes, mais ça n’est pas le cas.
Il existe aussi le trafic, mais encore la concurrence financière. Le trafic consiste à augmenter les prix quand le concurrent n’est pas là. Le trafic peut être annulé par la concurrence commerciale et par le rapprochement des acteurs entre eux. Le web n’est à ce propos pas la meilleure solution, parce qu’il sert d’intermédiaire pour le transport. Le web ne vaut rien face au train, qui, s’il était autant financé que la route, serait gratuit et très rapide. En effet, vous apprenez là une notion économique importante, à savoir l’économie de travail. La société humaine entière fonctionne sur l’économie de travail. Un seul moteur vaut mieux que beaucoup de moteurs éparpillés.
La concurrence financière vient quand des PME sont devenues des grosses entreprises. Ces grosses entreprises disposent et achètent des marchés. Elles agissent pour individualiser par la voiture, afin de s’approprier un marché local, puis d’autres. Ensuite elles augmentent les prix. Seule la politique permet de venir à bout des grosses entreprises, en les coupant en plusieurs morceaux, selon la loi anti-trust du Conseil National de la Résistance.
Selon Henry Charles Carey, le commerçant utilise le trafic pour s’enrichir. C’est humain. Ce commerçant veut économiser son travail. On appelle cela la paresse. Seulement, il faut savoir que ce trafic appauvrit les autres, car la monnaie, c’est un vase communiquant. La facilité du commerçant le poussera à acheter les produits les moins chers, lui permettant de vendre sans se forcer. Il ne respectera pas forcément les produits locaux, qui seront les mieux copiés par ce commerçant. Cela n’a rien d’illégal. Le politicien, élu, doit être moral sur tout et doit veiller à ce que des produits extérieurs ne nuisent pas à sa nation, en les taxant.
Le commerçant ne sera pas fautif s’il trafique. Il le saura et en voudra même inconsciemment à l’état pour ce trafic, qui permet pourtant de l’enrichir, car ce trafic enrichira plutôt les grosses entreprises, ses concurrents. Le problème du commerçant sera sa vanité, car il ne regardera pas forcément la difficulté qu’aurons ses suivants, qui devront trouver à produire moins cher, avec les produits de mauvaise qualité qu’il a vendus.
Mes Notes
Comparer la grande surface au marché.